Je suis tombée récemment sur un article du Figaro Étudiant de 2013 (et oui, ça date un peu) qui expliquait alors les avantages concurrentiels que peut procurer l'apprentissage du chinois.
D’après l'article, cela représentait "un petit plus sur le CV" de parler chinois, et la France comptait environs 30 000 apprenants.
Aujourd'hui, alors que la Chine est devenue la seconde puissance mondiale, qui pourrait encore dire que la connaissance de la culture chinoise et la maitrise du mandarin représente "un petit plus" ? Beaucoup de pays de par le monde ont déjà compris l'enjeu de former sa population au chinois : 2 millions d'apprenants au Japon, 800 000 en Thaïlande... contre seulement 100 000 en France.
Comme souvent, nous somme à la traine lorsqu'il s'agit d'anticiper et de se préparer au futur... Le reste du monde va-t'il nous attendre ? Assurément non. Alors qu'attend la France pour développer massivement l'enseignement du chinois ?
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